Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/144

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rangeant ses papiers avec un fiévreux empressement, qui n’indiquait pas un homme dans son état normal.

— Est-ce que vous souffrez ? demanda madame de l’Estorade, qui savait trop son mari par cœur pour ne pas être frappée de la singulière attitude extérieure qu’elle lui voyait dans le moment ; en même temps, elle le regarda au visage et remarqua la profonde altération de sa physionomie.

— Mais au fait, dit M. Octave de Camps, vous n’avez pas l’air dans votre