Page:Balzac - Contes drolatiques.djvu/400

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Plusieurs l’avoyent veue, durant la nuict, aller ez cimetières, y gruger de

ieunes morts, pour ce que elle ne pouvoyt assouvir aultrement le diable

qui trépignoyt dedans ses entrailles et s’y demenoyt comme ung oraige.