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En elle s’engendroyent mille et ung pleurs de ne plus se sentir ses beaulx cheveulx en la teste ; que, en oultre de ce, avoyt soif d’aër, ne pouvoyt résister à ses envies de saulter ez arbres, grimper, faire ses tourdions suyvant les usaiges de sa vie à plein ciel ; que elle passoyt ses nuicts en larmes, resvant aux forests soubz la feuillée desquelles iadis elle couchioyt.