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profonde que nous a causée le développement de ces principes subversifs. Tout le monde sait, de reste, qu’un homme tombant dans le veuvage reste toujours de huit à quinze jours sans manger ; que des enfans à la mamelle ont été vus pleurant à chaudes larmes le jour de la mort de leur mère, surtout quand la nourrice oubliait de leur donner à téter, et que, chez les anciens, des esclaves se précipitaient souvent au milieu du bûcher de leurs maîtres, afin de ne pas leur survivre. Obligés d’éditer, dans toute son atrocité, une conception immorale, nous nous empressons de faire ici nos réserves, en priant le public de croire qu’il n’a pas tenu à nous qu’elle ne fût pas publiée.

P.S. Nous déclarons en outre ne pas nous associer aux insinuations qu’on paraît avoir