Page:Ballin - Le Mahâbhârata, vol2.djvu/166

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

disparu, et je n’ai plus qu’un désir, ô Keçava, c’est d’interroger le second fils de Pândou.

358. Les Indras de la terre étant tués, mes fils étant abattus, mon refuge et ma joie reposent certainement dans les fils de Pândou.

359. Alors, fondant en larmes, il embrassa, en touchant leurs corps, Bhima, Dhananjaya, les deux fils de Mâdrî, (considérés comme des) héros parmi les hommes. Après avoir soupiré, il adressa des paroles agréables à ces hommes aux beaux corps.