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heures quarante-huit minutes ; c’est-à-dire, de celle qui embrasse la révolution des nœuds de la lune, et qui ramène les éclipses aux mêmes jours et à peu près aux mêmes heures). Cette dernière surtout (1758) a beaucoup de rapport avec 1777 ; sans presque de différence dans les températures de chaque mois de ces deux années, où l’on a éprouvé des excès de sécheresse et d’humidité.

Les années 1778, 1779 et 1780 ont été encore chaudes et sèches ; elles correspondent également à des années où l’on a éprouvé la même température.

Celles qui correspondent à 1781 ont été aussi chaudes et sèches ; et l’on sait combien cette dernière année a été chaude, sèche et prématurée. (L’année 1800 a été aussi extrêmement chaude et extrêmement sèche[1]).

Les années correspondantes à 1782,

  1. Cependant il n’est pas probable que les cinq années de suite, 1777, 1778, 1779, 1780 et 1781, aient été toutes chaudes et sèches.