par la portion descendante de la double échelle des principes, laquelle n’est, à bien des égards, que l’inverse de la partie ascendante, et que l’esprit ne peut suivre qu’en repassant par des degrés qui, sans être précisément les mêmes, sont situés sur les mêmes plans que ceux qu’il parcouroit en montant. On se convaincra, par les applications, utiles et variées, qui résulteront de ce développement, qu’une théorie certaine et une pratique sûre, du moins quant à leur exposé, ne diffèrent point essentiellement, que la science et la puissance ne sont au fond qu’une seule et même chose. Car aux effets, aux causes, et aux principes qu’envisage la théorie, répondent les buts, les moyens et les règles qui sont l’objet de la pratique. «
» En appliquant ma méthode à la physique, j’emploierai principalement deux espèces d’exemples : les uns intéressans pour le vulgaire, tels que l’art de prolonger la vie humaine, celui de faire de l’or, et celui de prédire les variations,
