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Note XLIII. — Au titre.

La note manque. Il est permis de croire que Béranger pensait, en marquant le titre d’une croix, à la Marie Stuart de son vieil ami M. Lebrun, ou à la musique de son ami Wilhem, qui lui avait demandé cette chanson. (Note de l’Éditeur.)


Note XLIV. — Au sous-titre, qui, dans l’édition de 1821, était celui-ci :
Chanson qui n’est point à l’usage des gens intolérants.

Cette chanson fut faite après la première Restauration, lorsque, par une ordonnance royale, on fit une obligation de fermer les boutiques le dimanche, et que bientôt les prêtres, renchérissant sur cette mesure, proscrivirent la danse dans plusieurs communes, les jours de fête. On put juger dès lors jusqu’où le clergé pouvait pousser l’esprit d’intolérance qui lui est si naturel, aidé comme il l’était par une cour toute bigote. (Note de Béranger.)

La Pétition de P. L. Courier, pour les villageois qu’on empêche de danser, est du même temps et a le même sens que la chanson. (Note de l’Éditeur.)


Note XLV. — Au deuxième couplet et aux vers : Où Favart… Où Panard, etc.

Deux croix marquent que Béranger voulait mettre deux