Cette page a été validée par deux contributeurs.
Et sur la rive
Je rends au ciel, je rends grâce à genoux.
Je t’embrasse, ô terre chérie !
Dieu ! qu’un exilé doit souffrir !
Moi, désormais je puis mourir.
Salut à ma patrie !
FIN DU TOME PREMIER.