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    Que Dorval, à la roulette,
    À tout son or dise adieu :
    J’y joûrais bien en cachette ;
    Mais il faudrait mettre au jeu…
                Quand on n’a rien,
                Landerirette,
On ne saurait manger son bien.

    Mondor, pour une coquette,
    Se ruine en dons coûteux ;
    C’est pour rien que ma Lisette
    Me trompe et me rend heureux.
                Quand on n’a rien,
                Landerirette,
On ne saurait manger son bien.