Eh ! zon, zon, zon,
Baise-moi, Suzon,
Et ne damnons personne.
Je préside à tous les banquets,
À ma fête j’ai des bouquets,
Et l’on remplit ma tonne.
Mon évêque, triste et bigot,
Prétend que je sens le fagot ;
Mais pour qu’un jour, mignonne,
J’aille où les anges font leurs nids,
Revoir tous ceux que j’ai bénits,
Eh ! zon, zon, zon,
Baise-moi, Suzon,
Et ne damnons personne.