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aider à Lucy, ma chère Elinor, Selina en sera fort reconnaissante. Je n’aime pas à la faire pleurer ; cela dérange sa jolie physionomie… Ne le trouvez-vous pas ?

Les choses s’arrangèrent ainsi : la partie à trois commença gaîment. Maria touchait son piano comme si elle eût été seule dans le salon. La table d’ouvrage était assez éloignée pour qu’Elinor pût espérer de n’être pas entendue ; les deux belles rivales s’assirent donc à côté l’une de l’autre dans la plus touchante harmonie pour travailler ensemble au panier de Sélina.