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coup de peine, et depuis que j’ai eu le malheur de le perdre, j’ai souvent désiré de les voir cesser. J’ai été retenu quelque temps par la crainte, qu’il ne parût peu respectueux pour sa mémoire, de me rapprocher d’une personne avec laquelle il s’étoit plu à être brouillé ; je veux parler de Mistriss Bennet, mais je suis maintenant au-dessus de ces scrupules.

Ayant pris les ordres à Easter, j’ai été assez heureux pour obtenir la protection de l’honorable Lady Catherine de Bourg, veuve de Sir Lewis de Bourg, qui a eu l’excessive bonté de me distinguer assez, pour m’accorder le bénéfice de la paroisse de

      • . Mon plus grand désir est, de me

conduire envers sa seigneurie avec tout le respect, que m’inspire la reconnoissance que je lui dois, et d’observer toujours exactement les rites et les cérémonies instituées dans l’Église d’Angleterre,