que moi. Je dois écrire à madame Patridge dans un jour ou deux, et je la prierai d’aller à la découverte. »
« Je vous remercie, et vous serais obligée de ne lui en rien dire, jusqu’à ce que nous approchions du temps où je pourrai en avoir besoin. »
« Mais, ma chère enfant, ce temps approche : voici avril, juin et tout à l’heure juillet. Une affaire de cette nature ne se finit pas d’un moment à l’autre. En vérité, il faut prendre des informations le plus tôt possible. »
« Excusez-moi, Madame, mais ce n’est pas du tout mon intention. Lorsque je serai déterminée quant au temps où je serai à même de chercher de l’occupation, je ne crains pas d’en manquer. Il y a à Londres des bureaux d’indications où l’on vend je ne dirai pas de la chair humaine, mais des connaissances humaines. »