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Fuiitaïoiu oaiendat, fore aroieura jiûllicofttur. Fautorem osteadat, fore amicum polliceatur.

Un homme qui le chérisse, qui se déclare le protecteur de ta jeunesse, de ta beauté, qui se déclare ton ami.

Cependant plusieurs lisent fadi dans ces deux passages. C. César, dans son traité sur VA)iaIogie, au second livre, croit que l'on doit dire au génitif die et specie. Moi-même j'ai trouvé, dans le Jugurtha de Salluste, ouvrage digne de faire autorité, et d'une ancienneté respectable, le génitif die;]e cite les expressions : Vix décima parte die reliqua, il restait à peine la dixième partie du jour. Je ne pense pas, en effet, qu'on puisse admettre cette interprétation subtile, qu'ici die est mis pour ex die.

XV. Da genre de controverse appelé par les Grecs ôLico^ov, inexplicable.

Le rhéteur Antonius Julianus et moi, fuyant les brûlantes cha- leurs de Rome pendant les vacances d'été, nous nous étions, rendus à Naples. Là se trouvait un jeune homme fort riche qui, sous la direction de deux maîtres de latin et de grec, se hvrait à