Page:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome XII.djvu/595

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
587
TABLE DES MATIÈRES.

Chap. II. Il y a dans la vision une sorte de Trinité. L’éclaircissement par un exemple.
— III. Il se forme dans la pensée une Trinité de la mémoire, de la vision intérieure et de la volonté qui les unit.
— IV. Comment se fait cette imité.
— V. La trinité de l’homme extérieur n’est pas l’image de Dieu. La ressemblance de Dieu se voit jusque dans le péché.
— VI. Comment il faut entendre le repos et le terme de la volonté dans la vision.
— VII. Autre trinité dans la mémoire.
— VIII. Diverses manières de penser.
— IX. La forme est engendrée par la forme.
— X. L’imagination ajoute aux objets qu’elle n’a pas vus ce qu’elle a vu dans d’autres.
— XI. Nombre, poids et mesure.


Chapitre premier. L’homme extérieur et l’homme intérieur.
— II. L’homme seul, parmi les animaux, découvre les raisons éternelles des choses dans le monde matériel.
— III. La raison supérieure qui appartient à la contemplation et la raison inférieure qui appartient à l’action sont dans la même âme.
— IV. La Trinité et l’image de Dieu ne se trouvent que dans la partie de l’âme qui peut contempler les choses éternelles.
— V. Peut-on voir l’image de ta Trinité dans l’union de l’homme et de ta femme, et leur progéniture ?
— VI. Il faut rejeter cette opinion.
— VII. Comment l’homme est l’image de Dieu, la femme n’est-elle pas aussi l’image de Dieu  ?
— VIII. Comment s’efface l’image de Dieu.
— IX. Suite du même sujet.
— X. On ne descend que par degrés dans l’abîme du vice.
— XI. L’image de l’animal dans l’homme.
— XII. Il se fait un certain mariage mystérieux dans l’homme intérieur. Complaisance dans ses pensées illicites.
— XIII. Opinion de ceux qui ont voulu représenter l’âme par l’homme et les sens par la femme.
— XIV. Différence entre la sagesse et ta science. Le culte de Dieu consiste dans son amour. Comment la sagesse donne la connaissance intellectuelle des choses éternelles.
— XV. Contre ta réminiscence de Platon et de Pythagore. Pythagore de Samos. Comment il faut chercher la Trinité dans la science des choses temporelles.


Chapitre premier. Après les Écritures, les attributions de la sagesse «t de la science.
— II. La foi vient du cœur et non du corps : elle est en même temps commune et individuelle chez tous les croyants.
— III. Certaines volontés étant les mêmes chez tous, sont connues de chacun en particulier.
— IV. Le désir du bonheur existe chez tous, mais les volontés varient beaucoup sur la nature du bonheur.
— V. Suite du même sujet.
— VI. Pourquoi, quand tous désirent le bonheur, préfère-t-on ce qui éloigne du bonheur.
— VII. La foi est nécessaire à l’homme pour parvenir un jour au bonheur, ce qui n’aura lieu que dans la vie à venir. Ridicule et misérable bonheur des orgueilleux philosophes.
— VIII. Point de bonheur sans l’immortalité.
— IX. Ce n’est pas le résonnement humain, mais la foi qui nous donne la certitude de l’immortalité dans le bonheur.
— X. Aucun moyen n’était plus convenable que l’Incarnation du verbe pour délivrer l’homme des misères de cette vie mortelle. Nos mérites sont des dons de Dieu.
— XI. Difficulté  : comment sommes-nous justifiés par le sang du Fils de Dieu  ?
— XII. Par le péché d’Adam tous les hommes ont été livrés au pouvoir du démon.
— XIII. Ce n’est pas par un acte de puissance, mais par un acte de justice, que l’homme a dû être arraché au pouvoir du démon.
— XIV. La mort volontaire du Christ a sauvé les hommes condamnées à mort.
— XV. Suite du même sujet.
— XVI. La mort fait tourner au bien des élus les maux de ce monde. Combien était convenable la mort du Christ pour nous justifier. Ce que c’est que la colère de Dieu.
— XVII. Autres avantages de l’Incarnation.
— XVIII. Pourquoi le Fils de Dieu a pris son humanité dans la race d’Adam et dans le sein d’une vierge.
— XIX. Quelle est la part de la science, et quelle est la part de la sagesse dans le Verbe incarné.
— XX. Résumé de ce livre. Comment nous sommes arrivés graduellement à découvrir une certaine trinité dans la science pratique et dans la vraie foi.


Chapitre premier. Qu’est-ce que la sagesse dont il est ici question ? D’où vient le nom de philosophe. Ce qui a été dit plus haut de la distinction entre la science et la sagesse.
— II. Dans le souvenir, la vue et l’amour de la foi temporelle, on découvre une certaine trinité qui n’est cependant pas encore l’image de Dieu.
— III. Solution d’une objection.
— IV. C’est dans l’immortalité de l’âme raisonnable qu’il faut chercher l’image de Dieu. Comment la Trinité se fait voir l’âme.
— V. L’âme des enfants se connaît-elle  ?
— VI. Comment il se trouve une certaine trinité dans l’âme qui réfléchit sur elle-même. Quel rôle la pensée joue dans cette trinité.
— VII. Éclaircissement par un exemple. Procédé pour faciliter l’intelligence du lecteur.
— VIII. C’est dans la partie principale de l’âme qu’il faut chercher la Trinité qui est l’image de Dieu.
— IX. La justice et les autres vertus cessent-elles d’exister dans la vie futures  ?
— X. Comment la trinité se forme dans l’âme qui se souvient d’elle-même se comprend et s’aime.
— XI. Se souvient-on même des choses présentes  ?
— XII. La trinité qui se forme dans l’âme est l’image de Dieu en ce que l’âme se souvient de Dieu, le comprend et l’aime  : ce qui forme proprement la sagesse.
— XIII. Comment on peut oublier Dieu et s’en souvenir.