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gnant que, d’une manière ou d’une autre, nous reconnaissons la censure. »

« Combien y a-t-il de nos représentants qui aient cette sollicitude pour le bien présent et à venir de leur pays[1] ? »

  1. L’appréciation sérieuse du mouvement politique qui s’opère à cette heure en Hongrie et en Transylvanie eût pris ici trop de développement. Nous nous réservons de l’étudier prochainement dans un travail sur l’Esprit public en Hongrie depuis la Révolution française.