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ACTE TROISIÈME
Chez d’Estrigaud. — Un cabinet plein d’objets d’art. — Un déjeuner au chocolat est servi sur un guéridon.
Scène première
WILLIAM, en livrée du matin ; QUENTIN, en habit noir, la serviette sur le bras.
William.
Monseigneur n’est pas encore levé, monsieur Quentin ?
Quentin.
Je l’attends.
William.
En voilà un fainéant ! Il est midi.
Quentin.
Si vous étiez rentré chez vous à huit heures du matin, monsieur William…
William.
Quelle bonne charge ! Il s’est couché hier soir à dix heures.