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Maximilien.
À quel propos ?
Giboyer.
J’ai un député à qui il ne manque que la parole.
Maximilien.
Ce n’est pas moi qui la lui donnerai. Je me soucie bien de la politique à présent !
Giboyer.
Quoi ! tu ne détestes pas ces opinions devant lesquelles le mérite et l’honneur sont une dot insuffisante ?
Maximilien.
C’est vrai.
Giboyer.
Ces opinions qui te séparent de Fernande ?
Maximilien.
Je les exècre !
Giboyer.
Tu ne te sens pas monter la rage au cœur devant ce stupide obstacle ?
Maximilien.
Oui !
Giboyer.
Tu n’éprouves pas le besoin de te ruer dessus et de le mordre ?