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(Souriant.) Je te l’ordonne ! J’ai bien aussi quelques droits sur toi peut-être ? Tu as assez léché la boue sur mon chemin, comme tu dis ; essuie-toi la bouche pour m’embrasser.
Il l’embrasse sur la joue.
Giboyer.
Brave enfant !
Maximilien.
Tu m’obéiras ?
Giboyer.
Il le faut bien. N’es-tu pas mon maître ?
Maximilien.
Tout me réussit aujourd’hui. Vive le bon Dieu !
Giboyer.
Tout ! Quoi donc encore ?
Maximilien.
Rien.
Giboyer.
Tu as des secrets pour ton vieux camarade ?
Maximilien.
Nous écrirons ta démission en rentrant chez toi, et je la porterai demain de bonne heure, pour que MM. les membres du comité aient un pied de nez à leur réveil. Quelle joie de leur souffler leur boxeur ! Tu ne te doutes pas de ce qu’on entend ici. C’est une vraie conspiration contre nos idées.
Giboyer.
Tout simplement. La grande chouannerie des salons,