Scène IV
Vous ici, monsieur !
Moi-même, mon cher, revêtu du caractère auguste de parlementaire. — Vous n’êtes pas de trop, monsieur Ducaisne.
Merci, monsieur, je vous gênerais… et moi aussi. Il vaut mieux que j’aille de l’autre côté tenir compagnie à ma pipe.
Fumez donc, messieurs, je vous en prie, il n’y a pas d’inconvénient… (Regardant les vitres cassées.) en plein air ! À votre place, je plaquerais sur la fenêtre ce paravent qui n’a presque rien à faire devant la porte.
C’est l’antichambre.
À la bonne heure. Permettez-moi de garder mon chapeau. — Je vous disais donc que je viens en parlementaire : j’ai été la cause involontaire de votre rupture ; j’ai demandé à être l’agent de la réconciliation. C’est vous dire que je ne peux plus être un brandon de discorde