ALYATTE, roi de Lydie, pr. XXII. — Chasse les Cimmériens de l’Asie Mineure, pr. XXIV.
AMASIS, roi d’Égypte, allié de Crésus, pr. XXXV. — Sa lettre à Polycrate, tyran de Samos, pr. LXXX.
AMBASSADES de Crésus en Grèce, pr. XXXIII.
AMBASSADEURS, les ( ) des Mèdes et des Lydiens boivent leur sang pour sceller un traité, pr. XXIX.
ÂME, ne vient pas des éléments, comme l’affirme Empédocle, II, 6, 12. — Voir Traité de l’âme.
AMOUR, n’est pas la cause des phénomènes, comme le veut Empédocle, II, 6, 6. — Son rôle insuffisant dans les théories d’Empédocle, II, 6, 8 et suiv. — Rôle que lui donne Hésiode, p. 224. — ( ) et discorde, principes moteurs, selon Empédocle, I, 1, 8, n. — Leur rôle dans le système d’Empédocle, I, 4, 10, n., et I, 10, 11.
AMMON, oracle de Jupiter, consulté par Crésus, pr. XXXII.
AMPHIARAOS, oracle consulté par Crésus, pr. XXXII.
AMPHITHÉÂTREIQUE, papier ( ), pr. CVXI.
ANAGNOSTES, sens de ce mot, pr. CXXIV.
ANACRÉON de Téos, pr. X. — Commensal et flatteur de Polycrate, pr. LI. — Cité par Socrate, pr. CII.
ANALYSE, inconnue à l’Inde, pr. CLXII.
ANALYTIQUES, derniers, cités sur la démonstration, p. 221, n.
ANAXAGORE admet plusieurs principes, I, 1, 2. — Croit les éléments en nombre infini, I, 1, 8. — Fait ses Homoeoméries infinies, I, 1, 2, n. — Confond le changement et la production des choses, I, 1, 3. — Comparé à Empédocle, 1, 1, b. —— Critiqué indirectement et sans être nommé, I, 10, 6. — Sa théorie sur l’origine des choses, p. 228. — Soutient l’unité de l’infini, p. 232. — Ses fragments cités, p. 232, n. — N’admet pas le vide, p. 236. — ( ) de Clazomène, en Asie Mineure, pr. VII. — Ses livres lus par Socrate, pr. XCVII. — Maître de Périclès, pr. CII. — Reproduit en partie la théodicée de Xénophane et de Mélissus, pr. XCXVIII.
ANAXIMANDRE n’admet qu’un seul élément, I, 1, 2, n. — Adoptait un cinquième élément composé de tous les autres, II, 1, 2, n. — Sa théorie sur l’Unité de l’être, p. 228. — De Milet, en Asie Mineure, pr. VII. — — Sa carte de géographie sur une table d’airain, pr. LXIII.
ANAXIMÈNE admet l’air pour unique élément, I, 2, 2, n. — lI, 1, 2, n. — Sa théorie sur l’unité de l’être, p. 228. — De
