il doit en avoir un autre plus élevé, et si cet homme veut nous apprendre qui il est et pourquoi il vient ici avec nous, nous saurons peut-être ce qu’a voulu dire Apollon.
Holà ! toi, dis-nous premièrement qui tu es, avant que j’en vienne à des mesures… Oui, dis-le et tout de suite.
Je te dis qu’il t’en cuira.
C’est comme cela qu’il te dit qui il est !
C’est à toi qu’il parle et non pas à moi, car tu l’interroges grossièrement et d’une manière trop dure. (À Plutus) : Allons, mon ami, si tu veux obliger un homme de bien, réponds-moi.
Je te rosserai.
Embrasse-le donc, ce bel oiseau d’Apollon.
Par Cérès, je t’empêcherai de rire plus longtemps.
Si tu ne dis tout de suite qui tu es, je te malmènerai, méchante bête.
Eh ! mes amis, passez votre chemin.
Point du tout.
Rien de mieux, mon maître, que ce que je me propose.