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son auteur n’a sans doute pas cherché la magnésie et le nickel.

1814, 3 et 4 juillet. Grande chute de poussière noire, au Canada, avec une apparition de feu qui rend cet événement semblable à celui de 472, cité plus haut, page 209. (Philos. Magaz., vol. xliv.)

1814. Dans la nuit du 27 au 28 octobre, pluie rouge dans la vallée d’Oneglia, près de Gênes. (Giornale di fisica, t. i, p. 32.)

1814, 5 novembre. On a trouvé dans le Doab, aux Indes, que chaque pierre tombée, ainsi qu’il est rapporté plus haut dans le catalogue des aérolithes (voir page 198), était formée d’un petit amas de poussière. (Philosophical Magazine.)

1815, vers la fin de septembre, la mer, au sud des Indes, fut couverte de poussière sur une très-grande étendue, probablement à la suite d’une chute cosmique. (Philosophical Magazine, juillet 1816.)

1816, 15 avril. Neige rouge en différents lieux de l’Italie septentrionale. (Giornale di fisica, tome i, 1818, p. 473.)

1819, 13 août, à Amherst, en Massachusetts. Chute d’une masse gélatineuse et puante, à la suite d’un météore lumineux. (Silliman’s Journal, ii, 335.)

1819, 5 septembre, à Studein, en Moravie, dans la juridiction de Teltsch, entre onze heures et midi, le ciel étant serein et tranquille, pluie de petits morceaux de terre, provenant d’un petit nuage isolé et très-clair. (Hesperus, novembre 1819, et Ann. de Gilbert, tome lxviii.)