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ASTRONOMIE POPULAIRE.
| En | 1781, | éclat un peu inférieur à celui de 1780 (restée toujours plus faible que δ de la Baleine).
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| En | 1782, | dans son maximum, ο monta jusqu’à la deuxième grandeur (aussi brillante que β de la Baleine).
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| En | 1783, | pas tout à fait de troisième grandeur (moins brillante que δ de la Baleine).
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| En | 1789, | de troisième à deuxième grandeur (un tant soit peu plus vive que α du Bélier).
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| Le 21 oct. | 1790, | de deuxième à troisième grandeur (presque égale à α de la Baleine).
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Minima.
| Le 20 oct. | 1777, | invisible. |
| En | 1783, | invisible, même avec un télescope qui montrait les étoiles de dixième grandeur.
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| En | 1784, | Herschel l’observa avec son télescope de 6 mètres, à une époque où elle ne surpassait pas la huitième grandeur.
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Durée des éclats.
| En | 1779, | un mois entier. |
| En | 1779, | plus de vingt jours. |
Il résulte du tableau précédent que l’étoile ne revient pas toujours au même éclat. (Cela se trouve déjà dans les anciennes observations, comme on l’a dit plus haut. Hévélius prétendait même que l’étoile était restée invisible depuis le mois d’octobre 1672, jusqu’au 3 décembre 1676.)
On savait que l’étoile s’éteignait ordinairement, aux époques de ses minima, pour l’astronome muni d’une lunette médiocre, et, à plus forte raison, pour celui qui étudiait le ciel à l’œil nu ; mais il n’était pas démontré qu’elle dût également disparaître dans les plus puissants
