Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 13.djvu/257

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Les Notes xvii et xviii sur les pluies d’une abondance extraordinaire observées, soit sur terre, soit en pleine mer, sont composées de courtes notes manuscrites ou de diverses communications faites en 1827 et 1839 à l’Académie des sciences ; elles fixent les idées sur les conditions nécessaires pour qu’on regarde une pluie comme exceptionnelle.

Pendant tout le temps qu’il publia des résumés météorologiques annuels pour les Annales de chimie et de physique, mon vénéré maître prit soin de faire connaître les fluctuations des hauteurs de l’eau dans la Seine ; plus tard, il continua à réunir des documents sur ce sujet, afin de composer une Notice sur les crues de ce fleuve, sur les grandes inondations observées à Paris et le régime comparé de ce grand cours d’eau dans le passé et dans le présent. J’ai publié le travail de l’illustre physicien tel qu’il l’a laissé, en complétant seulement ses tableaux les indications qu’il m’avait données.

La Notice sur la grêle avait été publiée dans l’Annuaire du Bureau des Longitudes pour 1828, avec diverses autres notes météorologiques dont j’ai déjà parlé ; je l’ai reproduite sans aucun changement.

La Note sur la composition de l’eau est une réponse. publiée en 1840 dans les Comptes rendus de l’Académie des sciences, à quelques critiques dont un passage de la Notice biographique sur Watt avait été l’objet en 1840 dans le sein de l’Association britannique pour l’avancement des sciences. Les critiques portaient sur la part