GO MESURE DE i.A MÉHID1ENKK
- iO juin 1807, des mesures sur ce pic élevé où je passai
plus de six mois, le plus souvent seul, n’ayant pour promenade qu’un espace d’une vingtaine de mètres carrés. Au-dessous de moi, au pied de la montagne, se trouvait un couvent de chartreux, et plus bus encore, au bord de la mer, le village do Benicassi, entre Oïopeza et CasUîllon de la IMuna. C’est lit que nous primes les distances au zénith des réverbères du Mont-Sia et de Ares, du signal d’tësnadan, des réverbères de Cullera et de Mongo, du signal d’iviza sur le sommet deCampvey, de l’horizon de la mer, puis les mesures des distances angulaires 1» entre le Mont-Siu et Ares ; 2° entre Ares et Iî*padun ; S" «titre Espadan et Cullera ; II" entre Cullera et Mongo ; 5" entre Êspadan et Mongo 0" entre Mongo et Cainpvey 7’cntrc le Mont-Sia et Espadan 8" entre Mongo et. le Mont-Sia 9" enfin entre Cainpvey et Espadan. Le vrai pic d’Espadan avait trop peu d’étendue pour que nous pussions nous y établir et nous dûmes mettre notre station sur une hauteur voisine qu’ou nomme la Allura de la Pastoru. Nous avons mesuré, du 1" au 14 juin 1807, MM. Chaix, Rodrigue* et moi, les distances au zénith des réverbères de Ares, du Desierto de las Patinas, de Cullera et de Mongo, ainsi que de l’horizon de la mer. Nous avons pris ensuite tes angles 1° entre Ares et le Desierto ; 2° entre le Desierto et Mongo ; Ô" entre le Desierto et Cullera ; 4" entre Cullera et Mongo ; 5" enlin entre Cullern et Arcs.
Les observations sur la montagne de Cullera ont été faites par MM. Chaix, Rodrigue/, et moi, du 8 au 20 mai 1807. Nous y avons relevé les distance ? uu zénith des
