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LES ONZE MILLE VERGES


et rondes qu’on ne lui eut pas supposées car elle était grande et mince. Elle avait un con très poilu. Elle était très chaude et la main fut bientôt à l’intérieur d’une fente humide, tandis que Mariette s’abandonnait en avançant le ventre. Sa main à elle errait sur la braguette de Mony qu’elle arriva à déboutonner. Elle en sortit le superbe boute-joie qu’elle n’avait fait qu’apercevoir en entrant. Ils se branlaient doucement ; lui, lui pinçant le clitoris, elle, pressant son pouce sur le méat du vit. Il la poussa sur le sofa où elle tomba assise. Il lui releva les jambes et se les mit sur les épaules, tandis qu’elle se dégrafait pour faire jaillir deux superbes tétons bandants qu’il se mit à sucer tour à tour en faisant pénétrer dans le con sa pine brûlante. Bientôt elle se mit à crier : « C’est bon, c’est bon.... comme tu le fais bien… » Alors elle donna des coups de culs désordonnés, puis il la sentit décharger en disant : « Tiens… je jouis… tiens… prends tout. » Aussitôt après, elle lui empoigna brusquement la pine en disant : « Assez pour ici. » Elle la sortit du con et