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notes et corrections

(11 novembre). C’est plutôt, croyons-nous, une allusion à la qualité de disciple de saint Martin de Tours, constamment donnée à saint Corentin dans ses légendes. Quoique la suite du récit prouve qu’en réalité saint Corentin disait la messe, messe chantant rappellerait ici le sens du mot composé provençal messa-cantant, ayant la signification de prêtre ou de religieux. (Cf. P. Meyer, Romania 1875, p. 463.)

V. 3037. — De [put] lin, ms. d’equilin.

V. 3044. — Le duc apelle, c’est-à-dire Charles appelle le duc.

V. 3047. — Ms. demande luy ont les Sarrazins.

V. 3048. — [Ce] dis[en]t, ms. dist. Vers incomplet.

V. 3050. — Conpte d’efreente[r] luy, ms. conpte d’efreent et luy.

V. 3051. — Romain, ms. romains.

V. 3053. — Ne d’Aiquin, ms. ne de Aiquin.

V. 3055. — Ge t’occiray, ms. ge te occiray.

V. 3057. — Qui [de] l’esve, ms. qui l’esve fit, vers faux.

V. 3058. — Archedeclin. Cf. Fierabras, v. 1642-3.

V. 3059. — Juqu’à la fin, ms. juques à.

V. 3060. — A matin, ms. ha matin.

V. 3061. — Là me vi[n]t, ms. là me vit.

Laisse XXIII. L’auteur du remaniement d’Aquin que nous publions a laissé en assonances cette dernière laisse, ou plutôt n’a pas achevé d’en transformer les finales en rimes, par une négligence fréquente à la fin des chansons remaniées. Cf. G. Paris, Alexis, p. 264 (Rédaction du XIIIe s.).

V. 3063. — En mon abit, ms. et en mon abit. Vers faux.

V. 3064. — Lour ot conté, ms. lour ot ce conté. Vers faux.

V. 3065. — Vers incomplet.