V. 1934. — On ne sait si luy se rapporte à Joseph averti par un ange de se rendre en Égypte, ou si Charlemagne fait allusion à l’Annonciation. Rapprocher le v. 2650.
V. 1935. — A la Thephayne te feys baptizer.
La fête de l’Épiphanie réunit en effet les trois fêtes des Rois, de l’eau changée en vin aux noces de Cana et du baptême de J.-C.
V. 1936. — Fleuve, ms. fleve.
V. 1937. — XXXIII, lire : XXXII.
V. 1938. — Desqu’au, ms. desque au.
V. 1941. — Saint [pain], lire : saint pain. — Les y feys, ms. les y fays. — Vers faux.
Entre ce vers et le suivant se trouve un vers exponctué par le copiste lui-même :
Et des paysons les fays resasier.
V. 1943. — T’offreys, ms. te offreys.
V. 1955. — Et tantost, lire : [et] tantost.
V. 1961. — Baillé et livré, ms. bailler et livrer.
V. 1963. — Te alerent, ms. t’alerent.
V. 1967. — Conforta, ms. confortera.
V. 1968. — Jour, ms. jours.
V. 1969. — Ta vie, ms. la vie.
V. 1972. — Ce vers peut se rapporter aux apôtres ; il peut aussi être un vers interverti, dont la place serait après le v. 1966. Ce passage a été transcrit avec une grande négligence.
V. 1972-73. — Deux vers incomplets.
V. 1975. — Ms. qui ad ce vouldront purifier.
V. 1977. — Vers incomplet ; voir plus haut v. 1913 et v. 2019.
V. 1978. — Ça, ms. sa.
V. 1981. — Se fut, ms. ce fut.
V. 1984. — S’est, ms. c’est.