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notes et corrections

cus, qui abandonne le trône d’Arabie pour exercer l’apostolat en Égypte et à Rome.

La dévotion à une croix enrichie de reliques paraît avoir existé dans l’ancienne église de la paroisse de Saint-Servan, détruite au XVIe siècle. Le monument qui lui a succédé est encore appelé quelquefois Église de Sainte-Croix. C’est également le nom de l’anse du port la plus rapprochée.

V. 1905. — Dou, ms. dous.

V. 1907. — Dieu, ms. diex.

V. 1910. — Vers faux.

Corr. : En moutier [meptre], et meptre à présenter.

La quantité du mot moutier peut avoir été douteuse pour l’auteur du remaniement ; le v. 1918, où il figure, est faux également. Cf. 2062.

V. 1911. — Commant, ms. comment.

V. 1912. — Le, pr. pers. fém. régime.

V. 1913. — Longuement. La syllabe muette ne comptant pas, le vers est juste.

V. 1918. — Arcevesques ; il y en avait plusieurs dans l’armée de Charlemagne, sans y compter l’archevêque de Reims Turpin exclu par la présence de son Sosie l’archevêque de Dol.

V. 1920. — Fut ; le sens préférerait jut, jacuit.

V. 1922. — Les reproches que l’on peut faire au copiste d’Aquin sont surtout fondés en ce qui regarde les deux longues prières qui vont suivre, les vers faux s’y multiplient.

V. 1926. — Nasqui[tes], ms. nasquit. Le changement de personne est facultatif. V. par ex. dans Aquin, 2014-15.

V. 1927. — T’alerent, ms. te alerent.

V. 1928. — Ce que t’offrirent, ms. ce que te offrirent.

V. 1929. — [Encens], addition du ms. de la Landelle.

V. 1932. — Juqu’en Egypte, ms. juques en Egypte.