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notes et corrections

V. 979. — Que ilz, ms. qu’ilz.

V. 984. — Un mot oublié en fin de vers, probablement dessartir (mettre en pièces). Telle est du moins la fin habituelle de ce centon dans Aliscans, v. 52, etc.

Cet infinitif assonnait en is comme au vers précédent partir (fendre). L’auteur de la mise en rime s’est borné à modifier la finale en supposant le part. passé partis. Ce procédé ne pouvant suffire au vers qui suit, à cause de derompre, il s’est arrêté devant la difficulté et nous a laissé un vers incomplet.

V. 989. — En cieul estor, ms. et en cieul estor.

V. 996. — Dont ge estoie, ms. dont g’estoie.

V. 1007. — En chiet [du] bon destrier, ms. chiet en bon destrier.

V. 1014. — Elys, ms. eleys.

V. 1015-16. — Le copiste a peut-être passé un vers.

V. 1026. — S’escrie, ms. se escrie.

V. 1029. — Le champ [guerpis], ms. le champ occis, il y avait peut-être : issis.

V. 1032. — Qu’en, ms. que en.

V. 1050. — Ester, ms. estez.

V. 1062. — Décerné, ms. deserné.

V. 1073. — Hélas, dist il, ms. helas ce dist-il.

V. 1081. — N’amera, ms. ne amera.

V. 1082. — Grant. Nous comprenons ce mot en supposant une contraction du mot, greant, (creant, croyance, foi.) Cf. Diez, II, 267, vo creanter.

V. 1090. — Peiles. Le ms. donne constamment perles. Il confond par ailleurs facilement l’i et l’r.

Ciclatons. — Autre note de Fauchet : « C’est un vêtement, comme lui dit, possible de ciclas, habillement rond dont parle Juvénal. »

V. 1091. — Don y a à planté, ms. d’or y aill a plante.