V. 554. — Le ms. porte :
Juques à ung tertre mont mayne la compaignie.
V. 556. — Pute. N. F. « vilaine. »
V. 561. — Feriz. Cette finale des infinitifs représente une prononciation du temps du copiste. Nombreux exemples dans cette chanson.
V, 562. — Requeillie. N. F. « recoeuiillie. »
V. 565. — Celui, lire : celuy.
V. 566. — Ce vers doit être rétabli dans le texte :
A nostre gent a dit certenement ainxy.
V. 567. — Seignours, ms. seignour. — Qui ne menty, lire : qui onc ne. Cf. v. 574.
V. 569. — Sur, ms. surs. — Suppléer à l’omission d’un guillemet après le mot : Sarrazins.
V. 578. — Bailly, ms. baly.
V. 586. — D’Aiquin, ms. de Aiquin.
V. 590. — Ne saiez efray, ms. ne saiez point efray.
V. 593. — Du, ms. deu.
V. 594. — Deseisy, ms. deseissé.
V. 595. — Dist Charles, lire : dist Charlemaine.
V. 597. — Et fervesty, ms. et de fer vesty. Vers faux.
V. 603. — Renge le à moy ge auray de luy mercy.
V. 606. — [ainz] sera, ms. avant sera. Vers faux.
V. 607. — Seré mort ou affebly. Vers sans césure.
V. 608. — Ert, ms. est.
V. 611. — Au Roy, ms. au roys.
V. 616. — Mande, ms. mende. Moi, lire : moy.
V. 619. — Verté, ms. verité.
V. 622. — Le fort roys. Corr. l[y] fort roys.
V. 623. — Au roy, ms. au roys.
V. 624. — Ms. ja Mahommet par moy ne sera degreppy, corrigé par inadvertance en rapprochant le vers 608. Ce n’est pas un vers faux, mais un alexandrin.