Quoique moins commune aujourd’hui, cette croyance existe encore, et M. Damase Arbaud, chaque année, a vu, « le soir de la veille de Noël, sa mère placer pieusement sur la table une rose de Jéricho qui est conservée depuis plus d’un siècle dans sa famille. »[1]
- ↑ Voy. la Revue des sociétés savantes.