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Marat.

C’eſt pour moi le plaiſir le plus délicieux.

D’Anton.

Oh bien, mon cher Marat, on vous admet ; vous ſavez que je vous ai toujours aimé, toujours protégé contre le châtelet & la Commune, je vais vous donner une preuve plus évidente encore de mon attachement. Je vais vous enculer, mais vous enculer de la bonne maniere.

Marat (baiſſe ſa culotte preſente ſon cul.)
D’Anton (met ſon engin dans le cul de Marat.)


Marat.

Ah ! M. d’Anton, vous m’avez