S’il q’v a qu’un uuima.1 ;
au Corps du Bœuf ’, à l’Aine du Bœui ; a luuauio. a lui Uva , Bœut’bienfaisaut !
Yachi jIiù vairyô. eti ;. .
S’il y en a deux :
au Corps du Bœuf, à l’Ame du Bœuf ; û votre daie il vous deux (yuvikenx ; , Bœufs bieut’aisaiits I
Yachi ahù vairyô, etc ..-
S’il y ea a trois :
Au Corps du Bœuf, à l’Ame du Bœuf : à votre dme à vous ivushmàkem). Bœufs bienfaisants.
Yathâ ahù vairvô, etc. ..
Les formules de ce fragment, empruntées au yirani/istdn ^^ 48} , sont les formules récitées dans la préparaliou do l’eau zààr ou ziOthm. On en a eu d’avance le commentaire dans la description du Paruijra i^vol. I, lxxti). Le .Mobed, en prenant dans la main les deux coupes à zôhr, récite un Khshnaothra des Eaux :
I. Khshnaothn. Réjouissanoo. — pour sacrifice, prière, réjouissance et glorificalion.
aux Bonnes Eaux- et à toules les eaux créées par Ha/da : au Grand Seigneur Apàm Napdt. et à l’eau créée par Maxda : à toi, Ahuràni’, [Eau] d’Ahura ! Yatlîû ahù vairyô.
l. Se rappeler que gùush est de veau te uom giêaéral de toute l’espèce aaimule. i. Liis eau.x. du présaut safrilice ^Yasua I. uolo 4ô,. 3» L’eau de la cuve où il va puiser cf. Yasna, LXVl. uote i .