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VOCABULAIRE DE L’ANALYSE DU KANDJOUR
4°). questionne dans Rgyud vi, 4°, 5°, 6° sur l’Être suprême, demande le Rgyud ix, 1°, sur les moyens d’être délivré de l’enfer ; écoute des instructions sur ce même sujet dans Rgyud xiii, 1° ; demande à Çâkya une instruction pour les êtres (Rgyud xiii, 26°) est invoqué dans Rgyud vi, 1° ; Çâkya lui enseigne à dompter les mauvais esprits (Rgyud xvii, 9°), invite Sukarika à prendre refuge en Buddha (Mdo xxix, 3°) ; vient accompagné des quatre grands rois pour voir Çâkya à son lit de mort ; chagrin que lui cause la disparition prochaine de Çâkya (Mdo vi, 2°). Çâkya recommande aux Asuras (Lhamayin) de ne pas le molester (ibid).
Ixvaku, tib. : Puram çing pa, prince de la famille Angirasa (dynastie solaire), ancêtre des Çâkyas (Dulva iv, 25°).

Jalendra, dieu des eaux (Varuna), a pour emblèmes des filets ou des lacets (Rgyud xix, 12°).

Épithète assez fréquente de Jambala (Rgyud xiv, 14° ; xvii, 16°).
Jambhala, « celui qui éloigne les choses nuisibles », propre au système tantrika. Ses cent huit noms (Rgyud xiv, 13°).

Jambhala-jalendra, son origine (Rgyud xvii, 16°) ; est compatissant et bienfaisant, sa dhâranî (Rgyud xiv, 44°).

Jambhala çri, Dhârani (Rgyud xvii, 15°).

Jayamati, questionneur de Mdo xv, 14°.

Jaya-raxita. Lotsava, traducteur de Rgyud viii, 4° ; ix, 1° ; probablement le même que Bande-jaya-raxita.

Jayavati, tib. : Rgyal va can ma, « la victorieuse », divinité tantrika qui paraît liée à l’épouse de Çiva.

Ses cérémonies (Rgyud xvii, 2°).
Jina-mitra, pandit indien de Kâçmir, philosophe vaibhâsika, a traduit, seul ou avec d’autres : Dulva (volumes v, vi, vii, viii, ix). — Le Kon-tsegs. — Mdo vi, 1° ; viii, 1°, 5°, 6°, 7° ; xi, 1°, 3° ; xv, 1°, 2°, 4°, 19°. Rgyud, x, 5°, 6°, 7° ; xi, 7° ; xii, 2° ; xiii, 3°, 12°, 26°, 32°, 34°, 56°, 60° ; xii, 14°, 15° ; xv, 4° ; xix, 22°.