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VOCABULAIRE DE L’ANALYSE DU KANDJOUR

Rgynd i, 1°, 2°, 3°, 4° ; iv, 9°, 12° (?), 15° ; vi, 1% s°, 9° ; vu, r, 5°, i° ; VIII, -.f, IX, i°, ( ?) ; X, 1°. 7° : XI, i’ 4°, 11°, 12°, li°, 15°, 20° ; xii, 2° ; xii, r,2°,4°, .r, 14°. 26°, 27°, 2y°, 32°, 34°, 40°, 47°, 52°, 57, 5S°, 59°, 63°, 64°, 66°, 67°. 71° ; XIV, 1°. 10°, 20°, 22°, 24°, 33°, 46°, 48°, 49° ; XV, 3°. 4°, 6° ; XVII. ’1° ; XVIII ; XIX. 1°, 2°, 4°, 18°, 22°.
Nous ne répondons pas de la parfaite exactitude de cette liste : les indications fournies par Csoma ne sont ni assez précises ni assez complètes pour qu’on puisse la donner avec certitude. Ce qui est hors de doute, c’est que, dans le Rgyud, Çâkya est souvent mis de coté et remplacé par d’autres créations mythologiques.
3. Traducteur de Rgyud xvi.
Çâkya hod, un des traducteurs de Mdo xxx, 11°.
Çâkya logros, traducteur de Rgyud xi, 15°.
Çâkya prabha, traducteur de Mdo vii, 4° ; Rgyud xiii, 2°. xiv, 20°.
Çâkya ye çes, traducteur de Rgyud iv, 1°, 4°, 5°, 6°, 7°.
Çambala, nom du pays où le système tantrika aurait pris naissance et d’où il aurait été apporté dans l’Inde ; considéré comme fabuleux. Rgyud i, 2°, 3°.
Campa, Campaka et Champavatî, capitale du pays de Anga-Angadha (Dulva i, 1-10), une des six villes marquantes de l’Inde (Dulva ii, 33.)
Bimbasâra s’en empare et y réside jusqu’à la mort de son père (Dulva i, 10).
Patrie de Sagama (Dulva iii, 114) ; est admise, en qualité d’une des six villes, au partage de la fortune de Né dgah (Dulva iii, 162).
Est une des villes où Çâkya a souvent résidé et prêché (Mdo vi, 2°). Çâkya y délivre la lune de l’étreinte de Râhu (Mdo xxvi, 28°).
Campaka. Çâkya exilé de Kapilavastu pendant la guerre qui anéantit la nation des Çakyas, devient roi de Bagud ou Vagud, pays où il avait trouvé un refuge (Dulva xi, 149-150) ; y élève un Caïtya pour les cheveux et les rognures d’ongles du Buddha qu’il avait emportés avec lui (Dulva xi, 160).