d’adoration aux saints reliquaires dans les huit endroits (où ont été déposées les reliques de Çâkya[1].
52. Bskal-bzang-sangs-rgyas stong-gi bstod-pa bskal bzang-rgyan-gyi-phreng-va, བསྐལ་བཟང་སངས་རྒྱས་སྟོང་གི་བསྟོད་པ་བསྐལ་བཟང་རྒྱན་གྱི་ཕྲེང་བ།. Rosaire ornemental de l’Age heureux, ou hymne sur les mille Buddhas de l’Age heureux[2].
53. Sbyor-va bjihi-lahi-bstod pa, སབྱོར་བ་བཞིའི་ལྷའི་བསྟོད་པ།. Éloge des quatre dieux unis.
54. Bdag-ñid-chen-po grags’pa rgyal-mts’an-la bstod-pa, བདག་ཉིད་ཅེན་པོ་གྲགས་པ་རྒྱལ་མཚན་ལ་བསྟོད་པ།. Éloge du grand seigneur Étendard de la renommée (ou panégyrique d’un grand Lama de ce nom).
55. Bla-ma dam-pa-chos-kyi rgyal-po la bstod-pa, བླམ་དམ་པ་ཆོས་ཀྱི་རྒྱལ་པོ་ལ་བསྟོད་པ།. Panégyrique d’un saint Lama, prince de la moralité.
56. Dus mchod-bjihi ts’ig lehur byas-pa, དུས་མཆོད་བཞིའི་ཚིག་ལེཧུར་བྱས་པ།. Quatre sacrifices célébrés à certaines époques, expliqués en vers.
57. Ts’igs-su bcad-pa gcig-pahi-hgrel-va, ཚིག་སུ་བཅད་པ་གཅིག་པའི་འགྲེལ་བ།. Commentaire sur un çloka.
58. Çâkya-thub-pahi-bstod-pa, ཤྰ་ཀྱ་ཐུབ་པའི་བསྟོད་པ།. Éloge de Çâkya-thub-pa[3].
Outre ces textes, il y a encore beaucoup d’autres éloges, hymnes, prières, mêlés aux Tantras adressés à certaines divinités particulières ou dieux protecteurs, etc.
Les noms des auteurs et traducteurs des ouvrages ou traités ci-dessus spécifiés se trouvent dans l’index (Dkar-chog) de la compilation du Bstan-hgyur.
Selon l’Index, il y a dans cette classe deux mille six cent quarante traités de différente étendue, remplissant quatre-vingt-sept volumes.