278
ATTRACTION DES SPHÉROÏDES.
Il suit de là que l’équation
doit être identiquement vraie. Cette identité ne cesse pas de subsister,
en faisant dans les deux membres de l’équation ; ainsi, l’on aura
en nommant
les coefficiens des termes qui,
dans le second membre de l’équation précédente, sont indépendans
de La formule (B) nous fait voir que, pour obtenir les termes
qui, dans la valeur de sont indépendans de il suffit de poser
dans la valeur de donnée par la série (A). Il est évident
que, par ce moyen, cette série revient à celle que l’on obtiendrait, en développant le radical
suivant les puissances de et en conservant seulement les termes
de la forme
L’intégrale d’un tel terme est, en vertu de la formule (B),
et, d’après l’équation (C), si l’on change, dans ce résultat, et respectivement en et la fonction