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madame de verdelin

vous en disiez, vous ne perdez pas dans le commerce. Ce n’est pas les charmes de votre esprit, que je ne suis pas digne d’apprécier, qui me l’ont fait désirer, ce sont les qualités de votre âme, et qui m’ont attachée à vous d’une façon invariable. Bonsoir, Monsieur, votre lettre m’a fort affligée. Je vous prie de trouver bon que j’aille prendre congé de vous. Je vous exhorte à ne pas quitter votre feu » [1].

  1. Correspondance générale. T. V, p. 244.