Page:Annales de la société Jean-Jacques Rousseau, tome 25.djvu/276

Cette page n’a pas encore été corrigée

pris le parti de le renvoyer dans les bois ou de l’enfermer dans une ménagerie ».

Après malheureusement, Rousseau intercale les mots ou peut-être heureusement, insertion qui n’a pas besoin de commentaires.

Les deux dernières notes se trouvent dans le Contrat Social.

3° A la page 93[1], en marge de la phrase :

« La plupart des peuples, ainsi que des hommes ne sont dociles que dans leur jeunesse ils deviennent incorrigibles en vieillissant ».

Rousseau écrivit : v. p. 95, c’est-à-dire qu’il renvoie le lecteur à la phrase suivante

« Il est pour les nations comme pour les hommes un temps de maturité qu’il faut attendre avant de les soumettre à des lois… »

en marge de laquelle l’auteur écrivit contr. avec p. 93. L’édition suivante corrige en partie cette contradiction et redonne la phrase comme suit :

« Il est pour les nations comme pour les hommes un temps de Jeunesse, ou, si l’on veut, de maturité, etc. »

Le mot la plupart barré par Rousseau dans son exemplaire (p. 93) a également disparu dans les éditions ultérieures.

4° Enfin on trouve à la page 295[2] du même volume

  1. Ibid., Vol. III, p. 330.
  2. Hachette. Œuvres. Vol. III, p. 382.