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III. 
Vénus brille annonçant les heures de l’amour 
 167
IV. 
Mouette solitaire et plaintive, perdue 
 168
V. 
Le soleil est tombé dans les flots ; une barre 
 169
VI. 
Doux air mélancolique et suave qui passes 
 170
VII. 
Le grand cerf pourchassé dans les plaines de neige 
 171
VIII. 
« Où es-tu ? » disait-elle, errant sur un rivage 
 172
IX. 
Éternelle nature aux aspects infinis 
 173
X. 
Mais depuis le chagrin dont mon âme est atteinte 
 174
XI. 
Le hameau n’est qu’un tas sombre dans la falaise 
 175
XII. 
L’année a ramené le triste anniversaire 
 176
XIII. 
Je m’en suis venu seul revoir notre vallée 
 177
XIV. 
L’air froid vibre ; le sol sonne durci ; la lune 
 178
XV. 
Le vieil aveugle assis sur le bord de la route 
 179
XVI. 
Parfois dans un vieux cœur d’où le souvenir fuit 
 180
XVII. 
Qu’est-ce, hélas ! que l’amour d’où ne sort point l’enfant 
 181
XVIII. 
Mon front est soucieux et mes tempes blanchissent 
 182
XIX. 
Heureux les morts, heureux les cadavres paisibles 
 183
XX. 
Faut-il que ma douleur aussi soit égoïste 
 184
XXI. 
Dans quels calmes regrets ton esprit résigné 
 185
XXII. 
Ainsi que ma douleur est au cœur de ma vie 
 186
XXIII. 
Comme on s’assied au bord d’un lac sombre dont l’onde 
 187
XXIV. 
Que je sois le premier par la Mort entraîné 
 188
XXV. 
Ainsi nous resterons séparés dans la vie 
 189