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Vermiculi vivos nos torquent, & mortuos consumunt, ut verè. Job. Cap. VIII. v. 5. Caro mea undique verminosa est. Thom. Barth. Acta Med. & Philosoph. T. V[1].
Les Vers nous tourmentent pendant notre vie, & nous consument après notre mort : ce qui confirme bien la parole de Job, chap. VIII. v. 5. Ma chair n’est que pourriture. Thom. Barth. Act. de Med. & de Philosoph. T. V.
  1. Ce passage n’est pas dans la Vulgate, selon les mêmes termes que le cite ici Bartholin. Elle porte : Caro mea repleta est putredine, Ma chair est pleine de pourriture. Mais l’Hébreu porte : Ma chair est chargée de Vers ; & la Version des Septante, Mon corps est couvert de pourriture et de vers.