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perroquets) lui donnaient un air de zouave crâneur tout à fait rigolo.
Il avait sur la tête une aigrette rouge dont il semblait fier jusqu’à l’impertinence.
Et ses petits yeux ronds, dont il clignait si malicieusement, l’idiot !
Et puis, Jane l’aimait tant que j’avais fini par m’y faire.
Quant à son parti pris de ne point parodier, à s’y méprendre, le langage humain, mon adorée mettait cette infériorité sur le compte de l’embarras.
— Parbleu ! disait-elle, avec ton air tout le temps de te fiche de lui, ce petit, il n’ose rien dire.
Cette idée de posséder un perroquet timide me réjouissait l’âme à un point que je ne saurais exprimer.
Je résolus d’en avoir le cœur net, et, hier, j’avançai cette proposition :