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SUR L’INCONVÉNIENT DE PARLER OU D’ÉCRIRE UNE LANGUE ÉTRANGÈRE IMPARFAITEMENT POSSÉDÉE.

J’avoue que je m’attendais à un accueil plus flatteur.

Étalée, suivant sa coutume, sur des coussins extrêmement orientaux (c’est-à-dire provenant de l’Extrême-Orient), Liane de Clichy arbora, dès qu’elle m’aperçut, la plus courroucée de ses physionomies.

Au lieu de sa voix, d’ordinaire langoureuse et câline, ce fut un organe véhément qui me proféra ces mots :