Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
118
Intérieur
Marie
Grand-père !…
Le Vieillard
Ne pleurez pas, mon enfant… nous aurons notre tour…
(Un silence)
L’Étranger
Elles regardent longtemps…
Le Vieillard
Elles regarderaient cent mille ans qu’elles n’apercevraient rien, les pauvres sœurs… la nuit est trop obscure… Elles regardent par ici ; et c’est par là que le malheur arrive…
L’Étranger
Il est heureux qu’elles regardent par ici… Je ne sais pas ce qui s’avance du côté des prairies.
Marie
Je crois que c’est la foule… Ils sont si loin qu’on les distingue à peine…