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OPPOSITIONS SCIENTIFIQl ES A LA DOCTRINE

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, , ord.n L’e/fondremeiU de ta natalité ™9talse ïJ°£ïila vil organe mensuel de la ligue Pou.

' ».™ Scelle formidable attaque dirigée

conirelanKn chrétienne du mariage, une résistance

Anoioterrc Amérique maintien ! généraie£S Tno, ; 'p5„tJnaniSem2nt : nous l’avons vu. les

Eque moraux et n-ligieux. Dans.a plnPjrtde. P n i « im. fondés pour la défense

ïïïï : Mis 1 îara.Un destable que le plus

, , x effort pour a défense du mariage et de la tSS cUdaîisTe sein de l'Église catholique.qu’une Ste de plus..1 s’accomplit. Théologiens, canonistes el moralisfes rajeunissent la forme des principes Ux In mariage, sot dans les n. un s „i m…,

„, ;. !  :  ; „, i. „™.d « » ci d. b.. » c. « t |* * « £

H co lu..ration des clercs et dos savants aïques

cU.nl dus rs ont apporté une contribution précieuse

De x actions étalent Immédiatement « **? » *" « '

, a critique des doctrines nouvelle, et la Justification

^jJ^SS^^SSi Malthus ont paru chimé riaues a certains savants qui objectent que ***& » *

des hommes. B. Mallet, dans Jounud « s a* - £ £<£ ; août 1918 Telle n’est point, cependant, la pensée aes

' v n » s qui ont défendu avec le plus de courage et ïéda la morale chrétienne. Une idée dangereuse n-ep fausse pour autant, et le malthusianisme est vr écrit E. Jordan, professeur à la Sorbonne, dïn le ! igtn et natalité, Revue du clergé guprt. fanv ml P. W du tirage a part. Il es. très vrai que, Eune société où la procréation serait réglée parle ÏuTinstinc sans aucune intervention de la volonté. e surpeuplement tendrait vite a devenir un fléau auquel o’n finit de remède que dans ; d’autres fléaux la famine la pote ou la guerre. Ibid., note 1. Les refuu n. faitedu malthu ianisme ne portent pas et no animent celle de M. Leroy-Beaullea dans sa LZSoTde la population.. La loi malthusien » du SllentdLapopuh.tion parpenododevin cinq années est Justifiée et même dépôts* et cette

Ce, Studees t sin/anifes, equenenep r i, ere, n 1 ;.en

doute par aucun esprit, : e, , ( - ; m ^^

ihut d us D’autre part, l’individu peut avoir de

l)(llim J raisons personnelles de limiter le nombre de

ses enfants Le désir de ménager la santé de la femme. , a crante d’assumer des charges supérieures aux ressources du ménage son ! des motifs sérieux dont II Z légitime de tenuempte. E. Jordan. Contre ta dépopulation. Le point de vue cathode. Rapport présenté à la Journée diocésaine des Œuvres. Paris, . M —, , 18 II x a donc un problème de l'équilibre de la population et des su ! el pour les -eus

mariés des problèmes d'équilibre entre les ressources et les désirs, l’activité économique et l’activité morale,

le devoir et l’Instinct.

! a solution de Malthu-, l’ajournement « les maria „, s’es, not, ..renient insuffisante. A celle des néo

ma thuslens. les objections très graves sont opposées Une question que d’abord on ne peut se tenli d poser aux différentes écoles malthusiennes est la su, vante lue fois les mesures préventives général ée. comment arrêterez-vous la baisse de » population ? Vndréadès, op. cit., [>. 74. Or, si la société a besoin d'être Droténée contre une prollflclté excessive, elle a

a, beson d'ét réassurée d’une lecomhle sultan, e.

P Bureau, L’indiseipline p. 465. Cette préoccupation des sociologues est aussi la préoccupai. on de -, , , s hommes attachés à leurs pays : un grand nombre d’auteurs se son. places a ce point de vue national. Voir par exemple pour la France, .. B « tiUon /, , dépopulation de la Fronce, Paris, 1911, et notamment la quatrième Patrie : Propagande en minèlle. p. 210-246 ; pour l’Angleterre, Rev..âmes Merchant. Population and Empire. Londres, 1917, pour la Belgique, H. P. Vermeersch, Le problème de la natalité en Belgique. Bruxelles. 1910.

I 'argument décisif est d’ordre moral : Le mode de Détection à employer contre l’excessive prohtéraffne devra certainement.pas être tel qu’il ruine pa son principe même toute l'économie des autres d sa i sexuelles, dont cette fécondité « est après tout que le terme et le but. « P. Bureau, L’indiscipline…, p 465 La solidarité des règles morales est telle que le relâchement sur un point, et sur un point essentiel, entraîne l’effondrement de tout le système Ibid,

t —, 71. Faire passer avant tout la satisfaction de

instinct, ce serait, tacitement peut-être, autoriser 'aduUère, l’avortement, l’infanticide. La logique conduit à cette conclusion et la pratique n’y peut résister lonatemps. Toute délicatesse, enfin, est banni, d’un regWfondé sur la fraude et la brutalité Tels sont les arguments des sociologues catholiques a l U , ., no tion du vice et du péché. Faillir est le fait ci, homme : mais ne point reconnaître dans les pratiques anticonceptionnelles des défaillances graves, c est nier les fondements de la morale catholique.

La morale catholique n’admet qu’une solution Manifestement la continence des époux est le s, ul , nov en de corriger l’excessive fécondité el en dehors ïect moyen toute précaution et toute mesureanticonceptionneUes doivent être condamnées. ' Hlir, : u ' ïSscipline…, p- 163. Solution dure dans léta actue de nos mœurs. Pour la rendre plus aisémen

.pl.cable. les moralistes catholiques J™^ toute une série de réformes urgentes d abord que

K, ; 1 t reprime lacanipagneneo-n.althu.ennee „ ele les citovens à l’abri des exe.tations de la littérature

d sce ê qu’il favorise les familles nombreuses : que ieTméd, , ans instruise* encore plus effl ~™£ » 7 Cientèle des périls de l’immoralité. Cf. Desplats, De la dépopulation par V infécondité voulue, Louvata.

, !, ; Boule, La responsabilité du médecndamla

prophylaxie anticonceptionnelle e, ^"orUment IM rapeulique, dans Nouvelle re„, r théologique, l’Jll,