Londres, 1891 ; R. Kùbel, dans Kurzgefast. Kommentar zum den heil. Schriften A. und N. T. de Strack et Zôckler, part. V, 2e édit., Munich, 1898 ; B. Weiss, dans Meyer, 6 8 édit., Gœttingue, 1897 ; A. Schlatter, Der Hebrâerbrief ausgelegt fur Bibelleser, 2° édit., Calw, 1892 ; 3e édit., Cahv et Stuttgard, 1898 ; B. F. Westcott, The Epistle to the Hebrews, 1880 ; 2e édit., Londres, 1892 ; H. von Soden, dans Handkommentar zum N. T., 3e édit., Fribourg-en-Brisgau, 1899 ; G. Hollmann, Der Hebrâerbrief, dans Die Schriften des N. T., 2e édit., Gœttingue, 1907, t. ii, p. 443-502 ; A. Seeberg, Der Brief an die Hebrâer, Leipzig, 1912 ; T L Windisch, Der Hebrâerbrief, dans Handbuch zum N. T., Tubingue, 1913, t. iv, p. 1-122 ; Ed. Riggenbach, Der Brief an die Hebrâer ausgelegt, Leipzig, 1913.
En dehors des introductions des commentaires précédemment cités :
1° Ouvrages catholiques.
J. L. Hug, Einleitimg In die
Schriften des N. T., 4e édit., Stuttgard et Tubingue, 1847, t. ii, p. 387-426 ; M. von Aberle, Einleitung in das N. T., édit. Schanz, Fribourg-en-Brisgau, 1877, p. 231-242 ; R. Cornely, Hist. et crit. Introductio in N. T. libros sacros, Paris, 1886, t. iii, p. 522-551 ; F. Kaulen, Einleitung in die heilige Schrift, 2e édit., part. III, Fribourg-en-Brisgau, 1887, p. 536-548 ; C. Fouard, Saint Paul, ses dernières années, Paris, 1897, p. 201-227 ; C. Trochon et H. Lesêtre, Introduction à l’étude de l’Écriture sainte, Paris, 1890, t. iii, p. 426-449 ; F. Trenkle, Einleitung in das N. T., Fribourg-en-Brisgau, 1897, p. 83-94 ; A. Schàfer, Einleitung in das N. T., Paderborn, 1898, p. 147-157 ; J. Bcbcr, Einleitung in das N. T., Fribourg-en-Brisgau, 1901, p. 591-617 ; E. Jacquier, Histoire des livres du N. T., Paris, 1903, t. i, p. 415-486 ; art. Hébreux (Épttre aux), dans le Dictionnaire de la Bible de M. Vigouroux, t. iii, col. 515-551 ; B. Heigl, Verfasser und Adresse des Briefes an die Hebrâer, Fribourg-en-Brisgau, 1905 ; A. Brassac, Manuel biblique, 13e édit., Paris, 1911, t. iv, p. 489-561 ; Quentel, Les destinataires de l’Épître aux Hébreux, dans la Revue biblique, 1912, p. 50-68 ; art. Hebrews, Epistle, dans The catholic encyclopedia, New York, 1910, t. vii, p. 181-184. Pour la doctrine de l’Épître,
F. Prat, La théologie de saint Paul, Paris, 1908, t. i, p. 497550 ; V. Thalhofer, Die Opferlehre des Hebrâerbrief s, Dillingen, 1850 ; J. Corluy, Spicilegium dogmatico-biblicum, Gand, 1884, t. i, p. 250-260 ; t. ii, p. 1-23, 133-151, 204-234, 250-256 ; sur la personne du Fils, J. Lebreton, Les origines du dogme de la Trinité, Paris, 191C, p. 345-359, 495-506.
2° Ouvrages protestants.
Ed. Reuss, Die Geschichte der
heiligen Schriften N. T., 6e édit., Brunswig, 1887, p. 137143 ; H. J. Holtzmann, Lehrbuch der hist. krit. Einleitung* in das N. T., 3e édit., Fribourg-en-Brisgau, 1892, p. 292-309 ; A. Jùiicher, Einleitimg in das N. T., 3e édit., Tubingue et Leipzig, p. 115-136 ; Th. Zahn, Einleitung in das N. T., 2e édit., Leipzig, 1900, t. ii, p. 111-159 ; C. Weizsâcker, Das apostolische Zeilalter der christlichen Kirche, 3e édit., Tubingue et Leipzig, 1902, p. 471-475 ; B. Ayles, Destination, date and authorship of the Epistle to the Hebrews, Londres, 1899 ; A. Weleh, Authorship of the Epistle to the Hebrews, Londres, 1899 ; W. Wade, Das literarische Ratsel des Hebrâerbrief es, Gœttingue, 1906 ; Burgaller, Das literarische Problem des Hebràerbriefs, dans Zeitsehrift fur neutestamentliche Wissenschaft, 1908, p. 110-131 ; Neue Untersuchungen zum Hebrâerbrief, dans Theologische Rundschau, 1910, p. 369-381, 409-417 ; K. Endemann, Ueber der Verfasser des Hebràerbriefs, dans Neue kirchliche Zeitsehrift, 1910, p. 102-126 ; F. Dibelius, Der Verfasser des Hebrâerbriefes, Strasbourg, 1910 ; B. Weiss, Der Hebrâerbrief in zeitgeschichtlicher Bedeutung, dans Texte und Untersuehungen, Leipzig, 1910, t. xxxv, lasc. 3 ; A. Nairne, The Epistle of priesthood. Studies in the Epistle to the Hebrews, Edimbourg, 1913 ; Mac Neill, Two récent théories about the Epistle to the Hebrews, dans The Interpréter, 1913, p. 156-160 ;
G. Wohlenberg, Wer hat den Hebrâerbrief verfassl, dans Neue kirchliche Zeitsehrift, 1913, p. 742-762 ; art. Hebrews, Epistle, dans Dictionary of the Bible de Hastings, Edimbourg, 1899, t. H, p. 327-338, et dans Encyclopœdia blblica de Cheyne, Londres, 1901, t. ii, col. 1990-200, et Hebrâerbrief, dans Realencyclopàdie fur protestantische Théologie und Kirche, Leipzig, 1899, t. vii, p. 492-506,
Spécialement pour la doctrine, E. Riehm, Lehrbegriff des Hebràerbriefs, 2e édit., Bâle, 1837 ; Klostermann, Zur Théorie der biblischen Weissagungen und zur Charakteristik
des Hebràerbriefs. 1889 ; E. Ménégoz, La théologie de l’Épître aux Hébreux, Paris, 1894 ; A. B. Bruce, dans Expositor, 3e série, t. vii-x ; 4° série, t. i et n ; G. Milligan, The Theology of the Epistle to the Hebrews, Edimbourg, 1899 ; Mac Neill et Harris Lachlan, The christology of the Epistle to the Hebrews, Ghicago, 1914 ; et les nombreuses théologies du Nouveau Testament, entre autres, celles de H.J.Holtzmann, Lehrbuch der neutestamentliche Théologie, Fribourg-en-Brisgau et Leipzig, 1897, t. ii, p. 281-308 ; J. Bovon, Théologie du N. T., 2e édit., Lausanne, 1905, t. ii, p. 357-403 ; G. B. Stevens, The Theology of the New Testament, Edimbourg, 1899, p. 483-522 ; B. Weiss, Lehrbuch des biblischen Théologie des N. T., 6° édit., Stuttgard et Berlin, 1903, p. 473-524.
E. Mangenot.
- HECQUET Philippe##
HECQUET Philippe, médecin, né à Abbeville, le
Il février 1661, mort à Paris le Il avril 1737. Vers
l’âge de dix-sept ans, il vint à Paris et suivit les cours
de philosophie et de théologie avant de commencer ses
études de médecine. Il prit ses grades à Reims où il
fut reçu docteur le 4 juillet 1684. Il exerça ensuite
dans sa ville natale ; mais il y resta peu et revint à
Paris. Dès 1688, sa réputation justifiée de science et
de piété l’avait fait choisir comme médecin par les
religieuses de Port-Royal. En 1697, il se fit recevoir
docteur de la faculté de Paris, et aussitôt fut chargé
d’y faire un cours. En 1712, il était doyen de cette
faculté. Pendant trente ans, il ne mangea pas de viande
et ne but pas de vin. Devenu très infirme, il se retira
au commencement de 1727 près des carmélites du
faubourg Saint-Jacques, dont il était le médecin
depuis plus de trente ans. Parmi ses nombreux écrits
nous ne mentionnerons que les suivants : Traité des
dispenses du carême dans lequel on découvre la fausseté
des prétextes qu’on apporte pour les obtenir, en faisant
voir par la méchanique du corps les rapports naturels
des aliments maigres avec la nature de l’homme ; et par
l’histoire, par l’analyse et par l’observation leur convenance
avec la santé, in-12, Paris, 1708 ; 3 in-12, 17101712 ; augmenté et corrigé, 2 in-12, 1741 ; cf. Acta cruditorum,
Leipzig, 1713, p. 555-559 ; La médecine théologique
ou la médecine créée telle qu’elle se fait voir ici
sortie des mains de Dieu, créateur de la nature et régie
par les lois, 2 in-12, Paris, 1733. Cf. Journal des savants,
t. ci, p. 213-237 ; Suppl. ad nova Acta eruditorum,
t. il. p. 115-120. Quoique très lié avec les jansénistes,
Hecquet s’appliqua à confondre les convulsionnaires
et publia à leur sujet : Lettres d’un médecin de Paris à un
médecin de province au sujet d’un miracle arrivé sur une
femme du faubourg Saint-Antoine, in-8°, Paris, 1725 ;
Le naturalisme dans les maladies de l’épidémie convulsionnaire,
première partie. Le naturalisme des convulsions
démontré par la physique, l’histoire naturelle et
par les événements de cette œuvre, et démontrant ïimpos~
sibilité du divin qu’on lui attribue dans une lettre sur les
secours meurtriers, deuxième partie. Le mélange dans
les convulsions confondu par le naturalisme, troisième
partie, in-12, Soleure (Rouen), 1733 ; Réponse à la
lettre à un confesseur touchant le devoir des médecins
et des chirurgiens au sujet des miracles et des convulsions,
in-12, Utrecht (Rouen), 1733 ; La cause des
convulsions finie et l’œuvre des convulsions tombée,
in-12, Utrecht (Rouen), 1733 ; Le naturalisme des
quatre requêtes, in-12, 1736 ; Réponse des médecins
au défi que leur font les convulsionnaires dans la justification
des requêtes, in-12, 1736 ; La suceuse convulsionnairc,
ou la Psylle miraculeuse, in-12, 1736 ; Lettre
sur la convulsionnaire en extase, ou la vaporeuse en
rêve, in-12, 1736 ; Réponse à la lettre d’un docteur
en médecine de la faculté de… sur l’écrit précèdent,
in-12, 1736.
Ch.-H. Lefebvre de Saint Marc, Vie de P. Hecquet, docteur régent : avec un catalogue raisonné de ses ouvrages, in-8°, Paris, 1740 ; Moréri, Dictionnaire historique, t. V & p. 552 ;