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I N l l N’OPLE II CONCILE DE}

12.75


l’assimil phiquei que li Pèret du concile condamnent >

< m’in ou bien Irouvent-il du li île incompli le ou crroi

pmuli di l anathémal adanl qu’on s’en prend surtout & la comparaison, elle impliquait une assimilation complète entre les théories des philosophes, Ihéorii - de leur in vention, , -., j,

et la doctrine du Christ, -.<, , >, > :., --.-.-., , , j oroC ta : ce qui du ri t avoir él

loin de la pensée et même des expressiori deThéod Cf. //’Act. apost., op. cit., col. 7^0, Mariai, t. i., col. 209.’; ’I’; ' t :  ; 0tvTl7COieÎT0(l tffiv xffeStôv (tjyyp « |J

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13. si quelqu’un prend la dé-impies de’concile a ni Cyrille douze anathématl

el de i "t ce qu Il a éci it >-n faveur de Théodore et di Ni ces impies, et eu faveur ceui qui : iilli rent aux doctrines des susdits Thi 1 1 Nestorius et les aci i eux et leur impiété : i 1.-i. à cause d’eux, il traite il impies’teurs de l’Église qui tiennent que l’union de Dieu Verbe s’est faite seli n l’hypostase ; et s’il n’anathématise pas les écrits impies précités, ainsi que ceux qui sympathisent ou ont sympathisé avec leurs doctrines et tous ceux aussi qui ont écrit contre la vraie f"i. ou contre saint Cyrille et ses douze anathématismes, et qui sont morts dans une telle impiété, qu’il soit anatlieme.

C’est Théodoret <le Cyr, le second des trois inculpés dnns l’a lîa ire des Trois-Chapitres, qui est mis en cause dansle 13 « anathématisme. Disciple de Théodore de Mopsueste, condisciple et ami fidèle de Nestorius, le savant évêque de Cyr avait pris part à tous les débats relatifs à Nestorius et à Eutychès. En 430, il publia une réfutation des douze anathématismes île saint Cyrille. Les décisions du concile d’Éphèse (431) ne le liront pas Changer d’avis sur ce qu’il appelait les tendances apollinaristes de ce document capital de la controverse nestorienne. Il se tint à l’écart, lors de l’accommodemenl conclu entre Anlioche et Alexandre (i : i : i !, el n’adhéra qu’il) i :  !."), mais seulement après qu’on eut renoncé à exiger de lui la condamnation de -Nestorius ; car il tenait celui-ci pour innocent des erreurs qu’on lui imputait. Celle altitude lui valut naturellement la haine du parti eutychien, longtemps tout-puissant. En 449, déposé par le pseudo-synode d’Éphèse, il en appela au pape, qui le rétablit sur son siège. Il put, en dépit de l’opposition du parti monophysite, prendre rang parmi les Pères de Chalcédoine, mais non sans avoir au

able adhéré formellement à la condamnation, tée contre Nestorius à Éphèse. Cf. Hefele, Concil., t. ii, p. 731-782 ; Bardenhewer, Patrologie, 1894, p. ; iiô.

Par sa controverse avec sa î n t Cyrille et par sa fidélité, sinon aux théories, du moins à la personne de Nestorius, Théodoret était tout désigné, après son maître Tl le, pour être de la pari dis

monophysites l’objet de violentes attaques. D’ailleurs,

tout profil poui

n infirmer -ur un point séquent, amoindrir son a’I’i - de li

i. t i. (in lut, i a

nU di -i polémiq .

fragments, rhéodorel formule en termes plui toriens qu’orthodoxes sa théorie s, ir |,

deui n.v yaorpi v.a-/ iaaç, ffuvf, v /’.’-'., t. lxxxiii, col. 393. Dans le -J-. il i suspecte, parce qu. tranj

la formule : Evuote /.%'>'’jnéTcatm. Ibid., anath. 2, i.1. 100. Dans le 3 « , il s’insurge contre : lique de la communication des idîoi I. 109, H2. Enfin dans h-’, -, il semble metli don le l’identité affirmée par saint Cyrille i ntre le Cl prêtre de la nouvelle alliance, et 1, -, anath. 10, col. 136. Puis

dorel aux moines svrieiis. Mansi, t. l.. !. 291 /’. < ;., t. i awiii. col. 1415-1 140 : lettre In il accuse saint Cyrille d’en revenir aux erreurs de Mari-ion. de Manès et de Valentin, à cause de la formule de son 1 er anathématisme ; à celles de Macédonius, i propos du Saint-Esprit ; à celles d’Apollina avoir admis I’êvoxti ; xacO’ii : offrait-/ (2 « et 3° enfin à celles d’Arius et d’Eunomius pour avoir afi i la communication des idiomes (4’anath. i. On ne lut

en Séance que quelqueextraits de C(’ajouta quelques passages de ses discoui Nestorius et contre saint Cyrille, où il traite celui-ci de ove Christi impugnator, et l’accuse de confondre dans l’union les deux natures, Mansi, t. ix, col.. une lettre à André de Sainosate, fort peu respecta pour les Pères du concile d’Ephèse et leur œuvre, i col. 294 ; P. (’, ., t. lxxxiii, col. 1463 ; une letl torius, postérieure à l’accord intervenu entre saint Cyrille et les Orientaux, où il reconnaît l’orthodoxe saint Cyrille, mais déclare à.Nestorius qu’on ne lui arrachera jamais de condamnation contre sa Mansi, ibid., col. "291 : P. (i., ibid., col. li."> : d lettres encore, l’une à Jean d’Antioche, après la conclusion de la paix, où les dernières déclarations de saint Cxrille sont reconnues être orthodoxes, mais en contradiction avec les douze anathématismes, l’autre probablement à Domnus. successeur de Jean d’Antioche, après la mort de saint Cyrille, el où reparais » nt les anciennes animosités. Mansi, 161d., c cf.

note d ; P. G., ibid., col. 1484, 1489-1492 ; enfin un lent de discours qui n’épargne guère la mémoire de saint Cyrille, alors défunt. La lecture de ces documents achevée, les évéques manifestèrent tout haut leur étonnement de ce que le concile de Chalcédoine qui connaissait toutes ces pièces et qui n’ignorait pas les blasphèmes de Théodoret, l’eût absous et réhabilité, même après l’anathème prononcé par lui sur Nestorius et ses erreurs. Mansi. ibid.. col.’Ji’T. A Chalcédoine, on s’était en effet occupe au cours de lu XIII’session du cas de Théodoret déposé par le conciliabuled’Ëpl

d’anathématiser Nestorius. Théodoret avait d’abord tenté de se dérober et ne s’j était décidé que sous la menace de l’anathème. Mansi. t. vii, col. 186-194. En le condamnant ici, les Pères du X’concile t revenaient pas inoins ur une cause déjà ju

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